Le coach du FC Barcelone, Pep Guardiola, estime que l'avenir de l'Europe est beaucoup plus important que le clasico face au Real Madrid.
L'entraîneur catalan du FC Barcelone, Pep Guardiola, a surpris les journalistes lorsqu'il a parlé du rendez-vous entre Nicolas Sarkozy, le président français, et Angela Merkel, la chancelière allemande.
En effet, l'ancien joueur de Brescia a relativisé l'attente autour du prochain clasico en rappelant la situation économique très difficile de l'Europe actuellement: "Le plus important ce n’est pas le Clasico mais que Merkel et Sarkozy sauvent l’euro. Le plus important c’est que les gens sortent enfin de la crise", a expliqué Pep Guardiola dans le journal Marca avant d'ajouter: "Le Real Madrid nous connait et nous nous ressemblons beaucoup. Nous sommes deux équipes de très haut niveau mais le plus important sera notre attitude et la manière dont nous aborderons la rencontre".
"J'espère qu'ils vont se battre et courir beaucoup sur le terrain"
Le technicien ibérique a également tenu à s'exprimer sur le dernier match de la phase de poule de la Ligue des Champions de son équipe face au BATE Borisov. Pep Guardiola a même décidé de faire jouer plusieurs jeunes footballeurs du centre de formation face au club biélorusse: "J'espère qu'ils vont se battre et courir beaucoup sur le terrain. Il ne faut pas qu'ils jouent avec la peur au ventre car j'ai déjà une opinion sur eux", a indiqué Pep Guardiola.
"On m’a choisi parce que les joueurs ont gagné"
Enfin, l'entraîneur blaugrana a terminé son entretien en parlant de sa nomination pour le titre de meilleur coach du monde: "Il y a beaucoup de gens qui votent…Moi on m’a choisi parce que mes joueurs ont gagné. Je ne me considère pas plus fort qu’un autre pour avoir gagné des titres", a conclu le grand ami de l'écrivain David Trueba.
(SOURCE : CHRONOFOOT.COM)
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