Selon le Corriere dello Sport, Silvio Berlusconi et
Roman Abramovich, les présidents respectifs du Milan AC et de Chelsea,
seraient déjà en train d'essayer de séduire Pep Guardiola en vue de la
saison 2013 - 2014.
Après
avoir remporté 14 trophées sur 19 possibles en l'espace de 4 saisons
sur le banc du FC Barcelone, Pep Guardiola a décidé de prendre une
année sabbatique. Mais le Catalan a déjà fait savoir qu'en vue de la
saison 2013 - 2014, il était déjà à l'écoute d'offres éventuelles. Et
au vu de son CV, celles-ci ne manqueront sûrement pas.
Il est
notoire que Roman Abramovich, le président de Chelsea, rêve de confier
les rênes des Blues au Catalan. Il aurait même déjà essayé, en vain, de
le convaincre de signer dès cette saison. Il est tout aussi de
notoriété publique que Silvio Berlusconi, le président du Milan AC,
rêve de voir sa créature évoluer comme le Barça.
Les exigences de Guardiola
C'est pourquoi le Corriere dello Sport affirme
que les deux présidents ont déjà commencé à faire la cour à Guardiola.
Josep Maria Orobtig, l'agent de Pep, est chargé de recevoir et
d'étudier toutes les offres que l'on pourrait proposer à son assisté.
Assisté qui lui a déjà donné des consignes précises. Guardiola devrait
faire passer l'aspect économique au second plan, et privilégier les
facteurs suivants : une structure de club déjà solide et établie dans
la durée, un climat adapté non seulement au travail mais aussi à la vie
de famille du coach, et évidemment, un bon potentiel technique et
sportif de base, pour penser à construire un "nouveau Barça" hors de la
Catalogne.
Chelsea offre plus de garanties que Milan
Et,
cela tombe bien pour Milan et Chelsea, Guardiola voudrait soit
retourner en Italie - il a été marqué positivement par son passage en
tant que joueur à Brescia, de 2001 à 2003, et y retourne souvent -, soit
découvrir la Premier League. On voudrait tout de même calmer l'emphase
des quotidiens italiens au sujet de l'arrivée éventuelle de Pep
Guardiola au Milan AC. Roman Abramovich, même s'il s'est calmé depuis
quelques années, n'hésite pas à ouvrir son porte-feuille pour renforcer
son équipe. En témoignent les arrivées récentes de Marko Marin et
d'Eden Hazard. Silvio Berlusconi, lui, rechigne désormais à faire
profiter les Rossoneri de son patrimoine sur le mercato (il répète sans
cesse que combler les déficits du club et éponger sa masse salariale
tous les ans lui coûte déjà bien assez). Pas sûr que des Bakaye Traoré à
0 euro offrent de belles perspectives sportives à Guardiola.
(SOURCE : CHRONOFOOT.COM)
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